Nos conférenciers
Sylvie Dethiollaz
Sylvie Dethiollaz est docteur en biologie moléculaire et directrice de L'Institut Suisse des Sciences Noétique (ISSNOE). Spécialiste reconnue des EMI (Expériences de Mort Imminentes) et des OBE, (Out of Body Experiences) elle mène des recherches structurées en appliquant des protocoles scientifiques comme le double aveugle et en faisant contrôler ses expériences par des huissiers de justice. Ses résultats étonnants ouvrent de nouvelles perspectives sur la compréhension de la conscience.
L’ISSNOE est une Fondation reconnue d'utilité publique. Elle diffuse une information objective sur les états modifiés de conscience non-ordinaire auprès du grand public, auprès du monde scientifique et auprès des professionnels de santé.
Claude Charles Fourrier
Claude Charles Fourrier est psychothérapeute à l’ISSNOE, spécialisé dans les états modifiés de conscience non-ordinaires depuis plus de 25 ans.
Il est responsable de l'accueil et du suivis thérapeutiques & collaborateur de recherche.
Thème de leur conférence :
une interview de Marcelin Willems à propos du dernier livre de Sylvie Dethiollaz et Claude Charles Fourrier : "ConneXions, études des contacts avec l'invisible", paru dernièrement aux Editions Trédaniel.
Délires psychotiques... ou accès à une réalité infiniment plus vaste?
Au printemps 2013, un phénomène étonnant se produit au cours d’une expérience scientifique, menée par Sylvie Dethiollaz et Claude CharlesFourrier, dans le but d’étudier les capacités de clairvoyance de NicolasFraisse. Des « voix invisibles » chuchotent à l’oreille de ce dernier des indications précises, qui lui permettent d’obtenir un taux de réussite exceptionnel.
Cet événement troublant marque pour eux le début d’une étude approfondie. Ils découvrent que près d’un tiers des personnes interrogées dans la population générale reconnaissent avoir déjà entendu une ou plusieurs « voix » qui les auraient aidées à un moment de leur vie. C’est aussi le cas de célébrités, à l’instar de Socrate, Jung, Gandhi ou encore Victor Hugo qui ont tous affirmé que des « voix » avaient parfois été à la source de leur inspiration.
Ils nous parleront non seulement de ces expériences de channeling mais aussi de leur vision de la Conscience et de la Réalité, basée sur leurs 25 années de recherche à ISSNOE et également de leurs propres expériences personnelles.
Romuald Leterrier
Romuald Leterrier est chercheur indépendant en ethnobotanique. Il est spécialiste du chamanisme amazonien et des plantes de visions qu'il a longtemps étudiées aux côtés de chamanes Shipibos-Conibos.
Il a écrit plusieurs ouvrages et de nombreux articles consacrés aux liens entre la science et les savoirs issus des traditions primordiales.
Son livre, aux Se souvenir du futur, coécrit avec Jocelin Morisson, vient de paraître aux éditions Trédaniel.
Thème de sa conférence :
Pourra-t-on un jour apporter une preuve de l’au-delà et de la survie de la conscience ?
Pour tenter de répondre à cette question (…) , j’aimerais proposer une piste d’investigation inédite. Je crois qu’il est illusoire d’attendre une démonstration scientifique prouvant l’existence de l’au-delà. Il me paraît difficile d’imaginer une expérience de physique qui viendrait corroborer celui-ci. Au mieux, on pourrait s’attendre à ce que cette expérience ouvre un nouveau cadre conceptuel mais pas une preuve. La science possède aujourd’hui un très grand nombre de faisceaux d’indices qui, à mon sens, suffisent à admettre l’existence de la survie de la conscience. Cependant, le déni dogmatique empêche cette intégration. Si nous voulons intégrer l’évidence de l’au-delà de manière scientifique en observant des faits, ce n’est pas uniquement du côté des sciences cognitives et de leurs théories de la conscience que nous devons chercher.
Ce n’est pas non plus du côté des centaines de milliers de témoignages d’expérienceurs d’EMI, de médiumnité, de VSCD, etc. Car même si ceux-ci font consensus sur de nombreux points, ils restent des témoignages en grande partie subjectifs. Il est vrai cependant que les EMI partagées ou les visions collectives des rituels chamaniques induites par le breuvage ayahuasca pourraient être étudiées scientifiquement, mais leurs reproductivité est incertaine.
Alors, où porter notre regard ? Intuitivement, nous avons tous tendance à imaginer que cette « preuve scientifique » se trouve dans un futur plus ou moins proche et qu’elle changera radicalement notre monde. C’est donc naturellement vers l’avenir que nous tournons notre regard avec espoir. Eh bien, pour tenter de découvrir cette évidence d’un au-delà, je vous propose de regarder vers le passé !
C’est vers la préhistoire humaine et surtout non humaine, dans les temps immémoriaux, que se trouve à mon sens la meilleure preuve scientifique de l’évidence de la survie de la conscience.
Laura Périchon
Laura Périchon est une ancienne ingénieure en physique aujourd’hui psychologue clinicienne, docteure en psychologie et en sciences de l’éducation.
Laura Périchon travaille à proposer des pistes de compréhension théorique et des modalités d’interventions thérapeutiques pour enrichir la prise en charge du deuil.
Ses travaux s’appuient sur la socioanthropologie et sur la philosophie des sciences psychologiques.
Thème de sa conférence :
Les chemins du deuil : transformer les relations entre les vivants et les morts.
Quand un proche disparait, ce qui de lui vit encore se voit appelé à la transformation. Le décès requiert ainsi une métamorphose, tant des vivants que des morts. Les chemins que prennent ces métamorphoses se voient tracés par l’histoire du défunt et de la relation avec lui, par les circonstances qui entourent le décès, ainsi que par les conceptions que nous pouvons avoir de la vie et de la mort. Sur ces chemins, les personnes ayant perdu un proche se voient régulièrement confrontées aux interpellations des défunts auxquelles elles cherchent à donner sens afin d’y répondre et de tisser ainsi des liens nouveaux et apaisants. Pour que de tels liens puissent s’établir, des professionnels peuvent aider en favorisant des échanges fructueux entre vivants et morts, conduisant à des transformations salutaires.
Dans cet exposé, nous aborderons le deuil et sa dimension relationnelle sous l’angle à la fois de la psychologie et de l’anthropologie, en mettant en lumière nos eschatologies occidentales et nos manières d’envisager et de vivre la mort et le deui
Philippe Guillemant
Philippe Guillemant est auteur, ingénieur physicien et docteur en physique.
Il est l’auteur de la théorie de la double causalité (ou de l'espace-temps flexible), présentée dans quatre livres à succès, ainsi que dans un documentaire réalisé par Jean-Yves Bilien (La Route de la Conscience).
Il mène aujourd'hui une recherche fondamentale en physique de l’information qui vise à réviser notre conception de l’espace-temps.
Thème de sa conférence :
Les dimensions vibratoires de la conscience.
Les physiciens relativisent aujourd'hui la notion d'espace, qui semble finalement émerger d'une construction holographique de la conscience, dont les vibrations forment un système de navigation capable de désolidariser du cerveau pour retrouver sa nature essentiellement non locale. Il s'agit là d'un changement profond de paradigme où la place première dans l'univers revient à la conscience.
Gabriel Ringlet
Gabriel Ringlet est prêtre, écrivain, journaliste et universitaire. Il a également été professeur et vice-recteur de l’Université catholique de Louvain.
Il est l'auteur de Ces chers disparus (aux éditions Albin Michel). Une exploration singulière de l'évolution de nos perceptions sur la mort, soutenue par l’étude méticuleuse de plus de 20 000 annonces, remerciements et souvenirs mortuaires de la presse francophone.
Thème de sa conférence :
Réenchanter les rites - En fin de vie, jusqu’à la mort.
Célébrer dans l’existence, c’est fondamental et cela concerne les croyants comme les non croyants. C’est que le rite est en nous. Et nous en avons besoin comme de pain. Encorefaut-il s’interroger sur la qualité des rites et oser les réenchanter.Très engagé dans les soins palliatifs et l’accompagnement des personnes en fin de vie, Gabriel Ringlet racontera sa pratique de la célébration et montrera, à travers de nombreuses situations vécues, pourquoi et comment il est si important d’encourager une démarche créative pour que la vie reste la plus vivante possible, jusqu’au bout. Il dira aussi pourquoi il est si important qu’aujourd’hui chacune et chacun ose devenir célébrant(e).
Patrice Van Eersel
Patrice Van Eersel est journaliste et écrivain. Il est également un explorateur passionné de l'expérience humaine, toujours prêt à plonger dans l'inconnu pour éclairer les mystères de l’existence.
Sa carrière l'a mené de grand reporter pour la revue Actuel à rédacteur en chef du magazine Nouvelles Clés.
En tant que directeur de collection chez Albin Michel, il a poussé les limites de la connaissance à travers une dizaine de livres d'enquête, dont La Source Noire, Le cinquième rêve, Le cercle des anciens et J’ai mal à mes ancêtres.
Thème de sa conférence :
Et si la conscience se riait de la mort ?
Leur cœur s’est arrêté. Ils se sont sentis partir… Et puis ils sont revenus, métamorphosés. Plus altruistes et débarrassés de leur peur de mourir. Dans C'est pas la mort (éd. XXI bis), le journaliste Patrice van Eersel reprend son enquête sur les EMI (expérience de mort imminente) menée il y a 40 ans et rassemblée à l'époque dans le best-seller La Source noire. Les scientifiques sceptiques d'alors l’admettent aujourd’hui : aux portes de la vie, « quelque chose » échappe aux paradigmes en place. Et si la conscience ne se réduisait pas à la matière ? Et si elle se riait de la mort ?Cette évolution vers ce qui pourrait ressembler à une sagesse humaniste a été sans doute le point fort du colloque « Médecine et états de conscience proches de la mort », organisé à Paris en 2020 par le fonds Conscience sans frontières, lancé par la psychiatre et psychanalyste Laurence Lucas Skalli. S’y sont côtoyés des chercheurs ou thérapeutes aussi incontestés que Steven Laureys, Étienne Klein, Axel Kahn, Emmanuel Hirsch, Marie de Hennezel, Alain Toledano et une bonne quinzaine d'autres.Cette nouvelle attitude d’humilité de l’intelligentsia scientifique face à un phénomène aussi fantastique que l’EMI signale pour l'auteur une bonne santé de notre corps social. Le résultat pratique est que se multiplient de nouvelles approches compassionnelles vis-à-vis des personnes en fin de vie. Cessant de séparer le corps, l’esprit et l’âme, elles aident aussi bien celle ou celui qui va partir que ceux et celles qui vont devoir en faire le deuil.Et sur le plan théorique, cette attitude conduit à l’émergence d’une phénoménologie, encouragée par des philosophes des sciences comme le professeur Michel Bitbol, qui conseille à l’ensemble des chercheurs de momentanément renoncer à résoudre l’« énigme métaphysique » posée par l’EMI, pour se concentrer sur l’écoute subjective, attentive et bienveillante, des récits des personnes dont la vie a été bouleversée à jamais par l’étonnante traversée.
Jean Staune
Jean Staune est philosophe des sciences et essayiste, diplômé en paléontologie, mathématiques, gestion, sciences politiques et sciences économiques.
Jean Staune est l'auteur de deux best-sellers.
Dans le livre Notre existence a-t-elle un sens?, il examine comment les découvertes scientifiques actuelles influencent notre compréhension philosophique et métaphysique du monde.
Thème de sa conférence :
« Connais-toi toi-même… et tu connaîtras l’univers et les dieux »
Cette injonction rapportée par Socrate et qui figurait au fronton du Temple de Delphes est l’une des plus anciennes de la philosophie. Or, nous avons, depuis 2500 ans, effectué des progrès incroyables. Nous sommes allés sur la lune, nous avons percé de nombreux secrets aussi bien dans l’infiniment petit que dans l’infiniment grand, nous avons construit des ordinateurs de plus en plus perfectionnés, et nous commençons à développer une intelligence artificielle capable d’imiter certaines productions du cerveau humain. Et pourtant, nous ne savons toujours pas qui nous sommes.
Notre conscience n’est-elle que le résultat d’interactions chimiques et électriques se produisant dans nos neurones, et qui, à partir d’un certain niveau de complexité se mettent à produire ce sentiment que nous avons tous d’exister, d’être un être unifié et unique, que l’on appelle « la conscience », ou cela est-il dû à une entité d’une autre nature située au-delà des toutes les dimensions de temps, d’énergie et de matière que nous expérimentons dans cet univers ?
Cette question est sans doute la plus importante que l’humanité puisse se poser, car de sa réponse découle une conséquence directe sur notre propre devenir à chacun d’entre nous. Soit tout finit avec la mort physique de notre corps, soit une forme de survie au-delà de celle-ci est envisageable.
Béatrice Mukamulindwa
Béatrice Mukamulindwa est une femme de courage et de détermination. Depuis le tragique génocide perpétré contre les Tutsis en 1994, Béatrice est en quête de ses trois enfants et de ses deux nièces disparus.
Au fil de cette recherche, Béatrice Mukamulindwa a fini par comprendre qu'elle n’était pas la seule dans cette situation déchirante.
En 2012, elle a donc créé au Rwanda l’association Cri du Cœur d’une Mère qui Espère - pour aider à retrouver tous les enfants disparus.
« Au Rwanda, on suppose souvent que ceux qu'on ne voit pas sont morts. Pourtant, de nombreux parents cherchent toujours leurs enfants perdus. Beaucoup de jeunes, trop petits à l'époque pour se souvenir, cherchent à connaître leur passé pour construire leur identité. »
Trois ans plus tard, avec l'aide d'amis, Béatrice Mukamulindwa a établi l’association Cri du Cœur d’une Mère qui Espère - Belgique pour soutenir les actions de son association rwandaise. Béatrice Mukamulindwa vit aujourd’hui en Belgique.
Thème de sa conférence :
La disparition de mes enfants et nièces, du deuil impossible au cri d’espoir d’une mère.
Quand le Génocide contre les Tutsis du Rwanda a eu lieu en 1994, je venais d’arriver en Belgique. Mes enfants étaient restés au Rwanda dans la famille de mon frère.
Je n’ai pas eu de leurs nouvelles pendant le Génocide, ni de celles de ma famille entière ainsi que de la famille de mon frère Théodore Mutabazi.
Après le Génocide, mon mari qui était aux études à l’université de Louvain et que j’étais venue voir est parti au Rwanda pour essayer de savoir ce qui était arrivé à nos familles. Il a découvert que tous les membres de notre famille étaient morts, mais de nos enfants aucune trace, ni de leur vie, ni de leur mort.
Il est rentré en me disant que les enfants auraient été aperçus près de la frontière entre le Rwanda et le Burundi. C’est à partir de cette nouvelle que j’ai entamé en janvier 1995 la recherche de mes enfants : MUDACUMURA Alain Flavien, NGWINONDEBE Aline, UWASE RWAGASANA Nadège, et mes nièces UWINEZA Alice et UMUHOZA MUTABAZI Marie Noëlle.
J’ai parcouru le monde pour rencontrer les témoins de la région où habitait mon frère et, chemin faisant, je me suis rendu compte de l’ampleur des disparitions d’enfants pendant le Génocide contre les Tutsis.
C’est à partir de cette expérience que je suis passée de la recherche de mes enfants à la recherche de tous les enfants disparus pendant le Génocide contre les Tutsis.
Une ONG locale - Cri du Cœur d’une Mère qui Espère – CCMES - a été créée en 2013 au Rwanda, et une ASBL portant le même nom a été créée en 2015 en Belgique.
Actuellement, grâce à un très important travail sur le terrain, CCMES a pu réunir 19 enfants disparus avec leurs familles.
Claude Virot
Claude Virot, formé à l'hypnose ericksonienne à l'Institut Milton H. Erickson de Paris en 1986, est un expert reconnu dans le domaine de l'hypnose et de la psychothérapie. Sa thèse de médecine, intitulée Hypnose, stratégie et psychothérapie, a été soutenue en 1988, marquant le début d'une carrière dédiée à l'exploration et à l'application de l'hypnose dans le domaine de la santé mentale.
Depuis août 2015, il préside l'ISH, où il a notamment été responsable de l'organisation du 20e congrès de l'institution à Paris, en 2015.
Claude Virot est également le fondateur de l'Institut Milton H. Erickson de Rennes Bretagne, et a organisé plusieurs congrès sur l'hypnose.
Il est un conférencier recherché dans les congrès internationaux
Thème de sa conférence :
Les vivants et leurs morts.
“Les morts sont des invisibles, ils ne sont pas des absents” dit St Augustin. Il nous rappelle ainsi qu’après la mort d’un proche, les vivants continuent à entretenir des relations avec le défunt. Que ce défunt garde une place plus ou moins importante dans la vie quotidienne des vivants. La qualité de cette relation est fondamentale pour la qualité de vie des vivants. Tous les cas où le mort est absent, ou trop présent, ou dans les cas les plus complexes, devenu un fantôme, appellent une intervention thérapeutique. La transe hypnotique, par le processus de conscience amplifiée, est un outil précieux pour rétablir l’harmonie entre le monde des vivants et le monde des morts.
Nathalie Vairac
Nathalie Vairac est Comédienne et performeuse.
En avril 2019, Nathalie Vairac a lu au Panthéon les écrits politiques d’Aimé Césaire, et s’est produite à Bruxelles dans une pièce sur la restitution des œuvres d’art à l’Afrique, Les restes suprêmes, du dramaturge rwandais Dorcy Rugamba.
Française, d’origine indienne et guadeloupéenne, elle parcourt aujourd’hui l’Afrique et le monde avec son franc sourire, sa sensibilité à fleur de peau et sa bonne humeur contagieuse.
Son style unique (l’improvisation, en prise direct avec l’invisible) fait d’elle une artiste très demandée.
Son intervention :
En tant que comédienne, Nathalie nous proposera une improvisation artistique captivante.
Coline Amadeus
Coline Amadeus s'est consacrée aux différents états de conscience que les fréquences induisent. C’est à partir d’une dimension vibratoire précise qu’elle compose, qu'elle descend la musique. Celle-ci peut soutenir l’élan d’une alliance interne avec la Conscience Énergie.
Après avoir joué dans le monde entier et enregistré 9 albums avec un violon acoustique, en 2014 Coline Amadeus se retire du monde public. Dès lors, elle joue et enregistre avec son violon électrique à 6 cordes, riche de possibilités nouvelles.
Elle met en image ses compositions qui sont des messages à la gloire de l’unité interne.
Martine Struzik
Martine Struzik est thérapeute transpersonnelle, maître praticienne en psycho-énergie et praticienne diplômée en nouvelle Hypnose et thérapie ericksonienne.
Co-directrice du forum Deuil qui vous est proposé, elle interviendra également aux côtés de Coline Amadeus pour un voyage musicale hypnotique.
Leurs interventions :
Sur les ailes de la musique, un voyage hypnotique.
Nous pourrions dire que ce voyage vous emmènera aux confins de l’univers et peut-être au plus près de votre âme. La voix de Martine Struzik et la musique de Coline Amadeus vont dialoguer et communier pour vous faire vivre le début de ce que les expérienceurs de EMI/NDE vivent et nous partagent dans leurs récits fascinants. Les compositions musicales vont soutenir l’état spécifique de l’hypnose. La conscience ainsi se déploie, s’élargit, s’expand pour expérimenter les états de la légèreté, de la fluidité, de la lumière, de la rencontre et… le retour.
Marcelin Willems
Marcelin Willems est réalisateur de Podcasts depuis 2015.
C'est en tant que musicien qu'il crée la série "Rock Psychédélique à l'usage de mon fils", puis "à l'usage de ma fille", traitant à la fois des aspects de la vie d'artiste en Belgique, de paternité et de féminisme. Ce Podcast reçoit le soutien du Fonds d'Aide à la Création Radiophonique de la Fédération Wallonie-Bruxelles en 2020.
De manière indépendante, il réalise en 2022 "La Journée commence par le Rêve", une série qui poursuit deux objectifs : explorer les multiples réalités de la conscience et de l’inconscience, et offrir un point de vue qui réconcilie science, art et spiritualité.